Deux mamans exceptionnelles



Résumé : Pré Saison 7, Henry Mills a bien grandi... Toujours célibataire, il cherche la femme idéale, celle qui sera à la hauteur de ses deux mamans 

 

Genre : Romance, Familiale

 

Rating :K+

 

Note :Ecrit pour les nuits du FoF  sur le thème "Baraka".

Répond également aux défis du discord de L'enfer de Dante : 

Première phrase 47 : "C’est une vérité universellement reconnue qu’un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier." 

Fandom du 11/06/2020 : Once Upon a Time

Alphabet des personnages OUAT : Henry Mills


Deux mamans exceptionnelles

« C’est une vérité universellement reconnue qu’un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier. »

 

Et de fortune, Henry Mills n’en manquait pas… Non pas qu’il soit riche d’argent, non — même s’il n’était pas spécialement pauvre non plus — du reste, à Storybrooke, cela n’avait aucune importance Non, sa véritable chance, c’était sa famille et le fait qu’il soit pourvu de deux figures maternelles exceptionnelles… 

D’une part Régina Mills, sa mère adoptive, jadis connue sous le peu flatteur sobriquet de Méchante Sorcière mais dont Henry n’avait — presque — jamais douté de l’amour. 

D’autre part Emma Swan, sa mère biologique, plus communément désignée sous le vocable de Sauveuse et pour la découverte de laquelle Henry avait dû batailler durant ses jeunes années.

 

On pouvait dire qu’à elles deux, Emma et Régina formaient la mère, non la femme idéale, les qualités de l’une compensant les égarements de l’autre et vice et versa. Oui, pour l’instant, Henry pouvait dire qu’il avait eu la baraka avec les femmes. 

 

Sauf que le héros ne se mariait pas avec sa mère (en tous les cas, pas dans le pays des fins heureuses) et Henry, devenu grand, désespérait de trouver une femme à la hauteur de ses deux modèles féminins. Ce n’était pas qu’il n’avait pas eu d’occasions, ou même que les femmes ne s’intéressaient pas à lui : sa royale ascendance et son statut d’auteur faisaient de lui un parti intéressant pour les jeunes femmes (du moins à Storybrooke) mais il ne voulait rien de moins que ce dont il avait toujours été témoin : le Grand Amour… Et si cela signifiait rester célibataire tant qu’il ne l’aurait pas trouvé, Henry y était disposé.

 

Et cela dura des années… Désespéré par son interminable solitude, Henry en vint même à penser que son destin n’était pas à Storybrooke mais que son grand amour l’attendait ailleurs… Le départ était inévitable et son destin en marche.

 

Lorsque sa moto évita de peu une jeune femme et qu’il posa les yeux sur Ella, dont il ignorait encore le nom, Henry comprit que, par un incroyable coup de chance, il venait de rencontrer une femme à la hauteur de ses deux mères et que celle-ci était son âme sœur. Bien sûr, il douta un peu lorsque cette dernière l’assomma pour le voler mais… ceci est une autre histoire.

 


Écrire commentaire

Commentaires: 0